LE MONDE | 11.01.2017 | Par Jean-Baptiste Jacquin

L’intention du législateur paraissait pourtant claire. Si les époux sont d’accord pour divorcer et s’entendent sur les conséquences (autorité parentale, droit de visite, pension alimentaire, prestation compensatoire, partage du patrimoine, etc.), chacun doit prendre un avocat pour formaliser la convention de séparation. L’idée est que les intérêts de la partie la plus faible seront même mieux défendus que dans le passé où un seul avocat, bien souvent choisi par la plus solide des deux, pouvait intervenir.

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